assurance vie
créer, developper, puis transmettre

Un veritable « couteau suisse » pour le patrimoine
En France, l’assurance vie est souvent considérée comme le « porte‑étendard » des outils patrimoniaux : elle offre à la fois souplesse, rendement (notamment sur les supports en euros), et avantages fiscaux attractifs, tant en matière de constitution d’épargne que de transmission de patrimoine.
La clause bénéficiaire est une stipulation du contrat d’assurance‑vie qui désigne la ou les personne(s) (physiques ou morales) qui percevront le capital ou la rente à votre décès. Elle vous permet de déroger à l’ordre légal de succession et d’organiser la transmission de votre épargne hors succession, dans la limite de l’abattement fiscal applicable.
Relisez et mettez à jour votre clause à chaque événement familial (mariage, naissance, divorce, décès).
Conservez une copie écrite (avenant, testament) et alertez vos bénéficiaires.
Consultez un notaire ou un conseiller en gestion de patrimoine pour optimiser fiscalité et transmission.







Constitution et dynamisation de l’épargne
pour soi-même et ses proches
Supports diversifiés
Fonds en euros : capital garanti à tout moment, intérêts définitivement acquis (« effet cliquet »).
Unités de compte (UC) : actions, obligations, SCPI, OPCVM… permettent de viser une performance supérieure, avec un risque de perte en capital.
Arbitrages flexibles
Vous pouvez à tout moment passer des fonds en euros aux UC (et inversement), sans formalités lourdes ni fiscalité immédiate.
Versements libres ou programmés
Vous gérez le rythme et le montant de vos apports : versements libres, versements programmés (mensuels, trimestriels…), versements complémentaires.
Avantages fiscaux pendant la phase d’épargne
Absence d’imposition des plus‑values tant qu’aucun retrait n’est effectué
Les intérêts et plus‑values restent capitalisés en franchise d’impôt, ce qui donne un effet de capitalisation favorable.
Fiscalité attractive en cas de rachat partiel ou total
Après 8 ans de détention, un abattement annuel s’applique sur les gains :
4 600 € d’intérêts exonérés pour une personne seule, 9 200 € pour un couple soumis à imposition commune.
Au‑delà, les gains sont taxés soit au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 12,8 % (plus 17,2 % de prélèvements sociaux), soit au barème de l’impôt sur le revenu si plus avantageux.

Etre conseillé(e) pour mieux anticiper